Il m’a paru pertinent de référencer des regards, contestations, essais, chansons du rappeur aux paysans et philosophes, des romanciers aux saints et bienheureux du XIXe à notre XXIe siècle.

Tous ont un point commun, le refus des mensonges moderne qui nous fait entrevoir le règne inévitable d’une société « néo-libérale v.2 » justifiant une autorité par des impératifs techniques et technologiques « hors-sol », comme seules solutions pour sortir de crises successives.

Les temps nous montrent une accélération des signes de l’artificialisation et d’une vision utilitariste de la vie humaine. On expérimente à grande échelle et les débats s’animent entre vaccins (certains reconnus comme thérapie génique et passeport biométrique) comme seule délivrance. Et de l’autre, on milite pour retrouver une « immunité acquise » que l’humanité a hélas perdue (le débat Pasteur/Bechamp est relancé); ainsi serait-il important que chaque citoyen puisse exercer le principe de précaution et demander des moratoires avant de tomber dans la peur qui est loin d’être bonne conseillère et c’est à ce titre, la grippe de Wuhan, masques, confinements et vaccins font figures d’effigies froides.

Peut-être sommes-nous arrivés à une rapidité suffisante, au niveau des ondes ?  Est-ce justifié, d’avoir plus de connexions, plus de virtuels, sans contact et tout à distance, disparition du commerce de proximité, perte du lien local, est-ce que le citoyen veut vraiment cela ?

C’est pour un plus grand bien que l’on développe ces techniques, nous dit-on. Dans tous les cas, cela nous empêche de réformer profondément nos modes de vie, notre terrain immunitaire . Certains transhumanistes des hautes sphères en parlent sans tabous, il n’est pas besoin de les citer, leur paradigme est connu, quand il est évoqué la « convergence NBIC » et la cybernétique, pour faire avancer l’humanité.

«La cybernétique devient alors la métaphysique de l’age atomique » nous dit Heidegger.

Quand je parle de retrouver « l’effort dans nos modes de vie », il s’agit de retrouver notre « immunité » et nos « savoir-faire autonomes ». Cet effort se réalise dans un travail en toute conscience qui permet à l’homme de faire l’expérience de sa liberté, de sa passion comme vertus et de son Amour aux choses. Il redécouvrira la création et son créateur. Il commencera à s’arracher aux artifices et à l’aliénation selon lequel les hommes ne sont et seront que des fantômes de la grande machine dont ils peuvent ajuster des paramètres selon des fantaisies et des modes. Au milieu des années 1930, Simone Weil (la philosophe) nous rappelle le rôle d’un travail fait avec Amour : « le travail comme façon d’être au monde ». Cet effort incarné dans le travail devient surtout une expérience de la matière et de l’égalité entre les hommes dans le désir d’autonomie locale et de convivialité dont les intelligences sont mobilisées pour aider une communauté et non, un travail soumit au diktat des machines — une gouvernance mondiale où ils seraient débarrassés de ceux « qui ne leur sont plus utiles », remplacés pas à pas, par l’intelligence artificielle, selon les propos de Laurent Alexandre dans le documentaire Hold-Up — qui pourra amener à l’abandon de la raison, de l’apprentissage et de la perte des traditions qui par conséquent, aboutira à la barbarie.

« Il n’est pas difficile de deviner que le monde se divisera bientôt entre ceux qui veulent vivre en créatures et ceux qui veulent vivre en machines », écrit Wendell Berry, cité dans le Pari Bénédictin de Rod Dreher

En ce début d’année 2021 et cette fin d’année 2020 exceptionnelle, se pose un certain nombre de questionnements éthiques et techniques, je vous propose alors quelques pistes culturelles : biographique, littéraire, essais, chants, actions de terrains, etc. sur ces thèmes, d’hommes et de femmes  qui de leur temps et avec une drôle de concordance ou de providence évoquait déjà la justification du règne de la technique qui peut fait courir le risque à l’homme de devenir un zombie aidé par des ordinateurs sans cœur, à la différence, d’un homme voulant construire sa liberté dans les vertus, la tête pleine et les mains (le corps est l’atelier de l’âme nous dit l’abbesse bénédictine Sainte Hildegarde de Bingen) qui retrouvent le sens pratique et les savoirs-faire dans le but de retrouver des modes de vie durables ou « mémoire et confiance en soi » se conjugue . Nous avons davantage besoin de créer des « espaces d’inclusion permanente » pour l’être humain au lieu de créer des « espaces de protection permanente » contre l’être humain, nous dit l’agroforestier Ernest Gotsch.

Photo de © Bien Urbain


Zippo contre les robots

Le rappeur zippo est un intello du « rap games », technoceptique et survivaliste qui à contrario de puiser chez NTM ou Booba s’inspire d’avantage d’ouvrages comme : le traité du Rebelle ou le recours aux forêts d’Ernst Jünger (dans ce traité, E.Jünger invite faire « un examen de la liberté de la personne dans le monde »), du bluff technologique de Jacques Ellul ou encore, de L’Intelligence artificielle ou l’enjeu du siècle – Anatomie d’un antihumanisme radical de Eric Sadin qui critique l’IA comme une obsession de l’époque. On pourrait alors conclure que ce n’est peut-être pas très grave d’avoir des robots qui lisent les émails.  Mais si par exemple, demain, ceux-ci se positionnent sur nos opinions exprimées qui deviendrait alors délit, il pourrait avoir ce risque d’ermergence d’un monde partout sécurisé, optimisé et fluidifié. l’AI ou IA se présentant comme le toujours plus « pratique » ou est-ce encore un énième « fil à la pâte » ? Le règne de la technique au nom du « c’est plus pratique » ? D’ailleurs ce qui est plus pratique au sens « commode » n’est généralement pas du tout pratique au sens de « ce qui est relatif à la maitrise d’un art », d’un « savoir faire » pour reprendre confiance en ces moyens comme : faire ses conserves, son jardin, travailler le bois, réparer, souder. Plus nous cédons à ce qui est pratique, moins nous pratiquons et perdons confiance en nos capacités d’adaptation au réel, une position de liberté axiologique ou les moyens ne sont pas confondus avec les fins.

Le transhumanisme se camoufle en prétendant dépasser les vieux eugénistes totalitaires du XXe siècle – Le post-humain se veut et se voudra humanitaire, il sera en opposition avec beaucoup d’autres système de valeur comme le décrit Robert Hugh Benson, dans son roman Le maitre de la terre écrit en 1910. C’est pour le bien de l’homme qu’on modifie ce dernier et qu’on emprunte une série de transgression toute lié, entre elles, PMA, IA, GPA, etc. Cela est une diffusion pernicieuse de l’eugénisme qui défend une certaine « vie ».

Revenons sur Zippo, et son album Zippo contre les robots. le morceau I-monde, nous décrit une planète en flamme où les marchands du temple se préparent à s’enfuir dans une fusée d’Elon Musk et les humains du dessous  finiront par être assujettis aux dernières chaines de l’esclavage par le bienfait technique.

On arrête pas le progrès, c’est cela le slogan, dans sa nouvelle voiture, papa lâche le volant mais pas de panique de nouveau robot rapplique; l’humanité est en pilote automatique et tous le monde trouve cela cool […] la foule s’agenouille au pied de la machine de Zippo dans la chanson I-Monde

Cliquer sur l’image pour écouter le morceau :

Album: Zippo contre les robots

Un monde gagné par la technique est perdue pour la liberté. Dès lors, il complètera : « notre État Technique n’aura demain qu’un seul ennemi, l’homme qui ne fait pas comme tout le monde ou plus simplement si vous voulez : l’homme qui croit à autre chose qu’à la technique ». Georges Bernanos dans la France contre les robots

 


Peguy/Bernanos – une opposition à la grande machinerie

Les intuitions de Charles Peguy et Georges Bernanos sur notre monde sont en quelques sorte prophétique, et répondent à Georges Orwel quelques années plus tout sur qu’il constatait sur l’homme moderne: – « l’homme a oublié de s’explorer lui même cherchant trop à explorer le monde physique ».  Le monde d’aujourd’hui est encore plus « peguiste » que le monde du temps de Peguy, ces deux écrivains ont perçus comment ce monde libérale peut devenir un ennemi de l’aliénation de l’être et de la possibilité de la « réel politique » sans spectacle et technocratie et sans être séparer de la mystique selon C. Peguy l’auteur de Notre Jeunesse et G.Bernanos dans la France contre les robots. Le constat à titré de cette mécanisation outrée du monde par nos deux écrivains : notre humanité perd son humanité de la même façon qu’elle a perdue son humanité par la rupture avec le sacré, laissant la modernité tout organisé: la naissance d’un homme et sa fin de vie, une modernité qui ne vit que par le déterminisme et crée que de la déshumanisation

La modernité est une vaste conspiration contre toute espèce de vie intérieure de Georges Bernanos

Cette grande machinerie évoqué chez nos deux auteurs peut se rapprocher d’un autre dissident précurseur de l’écologie politique, Bernard Charbonneau (1910-1996) qui en 1937 écrivit un premier texte le sentiment de la nature comme force révolutionnaire, une critique de l’idéologie technoscientifique et une méditation inquiète des liberté humaine dans la société industrielle qui se retrouvera dans  son essai polémique et philosophique écrit en 1990, qui montre comment la religion progressiste du changement et de l’illimitation détruit les bases et les équilibres qui permettent aux hommes d’incarner leur liberté ici et maintenant, dans une terre et un temps à leur mesure, un espace qui ne soit plus un chantier et un mouvement absurde pour reprendre ces mots. L’absurdité du monde qui contraint par des promotions permanentes de nouveautés et de ruptures imposent de ce fait des impératifs brutaux  du marché allié au technique (exemple du black Friday): le monde devient chaotique et barbare reprend G.Bernanos en évoquant sans une certaine ironie ce « doux royaume de la terre ».


Georges Orwell au présent, la critique de tous les totalitarismes; même, libéral.

Tiré du documentaire : « George Orwell, Aldous Huxley : « 1984 » ou « Le meilleur des mondes » ? | © ARTE

Le 8 octobre 2020 plusieurs œuvres de l’écrivain britannique George Orwell sont parues dans la prestigieuse collection « La Pléiade » aux éditions Gallimard. En relisant le roman 1984, on comprend qu’il ne s’agit pas juste de critiquer un système capitalisme ou socialiste mais de critiquer toute emprise de liberté sur les individus ou l’emprise d’un parti sur les individus arrive à déshumaniser complètement l’homme; il est alors privé en sa qualité de sujet, celui-ci ne peut plus penser, voir imaginer. Le totalitarisme capitaliste néo-libérale encore en place est bien plus pernicieux qu’un totalitarisme socialiste, il continue son chemin dans un hypermatérialisme sordide avec l’incitation à la consommation – Pier Paolo Passolini disait en 1970 en comparant le fascisme et la société de consommation : « jamais le fascisme n’était allé aussi loin dans le totalitarisme, que la société de consommation» – qui n’incite plus l’homme à trouver sa place humaine et ses vertus, son autonomie dans le réel. Le vrai combat devient un clivage entre le réel et le virtuel.

Nous pouvons également nous inspirer du roman la « zone du dehors » a été écrit en 1999 par Alain Damasio, cette dystopie pertinente réactualise le roman 1984 – plantée sur un astéroïde en orbite autour de Saturne, une société humaine prospère doucement baptisée Cerclon. Cette société est un rappel assez glaçant du concept de panoptique illustré sur la couverture, entre autres, la ville tient plus de la station spatiale cernée par un environnement hostile que de la terre promise –  et critique la société techno-totalitaire  imaginaire tendant à s’incarner dans la notre – où la dictature s’appuie sur la répression et pour durer, cette démocratie use de l’assentiment général, de l’autocensure permanente (la fabrique du consentement) et du storytelling. Ces techniques de communications très usitées de nos jours sont détaillés dans cet ouvrage de Lucien Cerise.

2084.
Owell est loin désormais.
Le totalitarisme a pris les traits bonhommes
de la social-démocratie. Souriez, vous êtes gérés !
Le citoyen ne s’opprime plus : il se fabrique. À la pâte à norme,
au confort, au consensus. Copie qu’on forme, tout simplement.


La résistance et l’impact du catholicisme social au XIXe

Devant l’esprit moderne qui s’infiltre pernicieusement dans toutes les parties de la société, il s’agit en premier lieu de la rechristianiser par la base. Or, l’atomisation libérale a détruit les liens charnels qui existaient dans la société, séparant les classes au lieu de les réunir pour le bien commun.

Léo Imbert dans son livre « le catholicisme social »

Le catholicisme social est un inconnu qui fut des plus actifs entre 1870 et 1891, il fut une vraie réflexion de terrain « antilibéralisme » par l’incarnation d’œuvres charitables, très riches qui sont souvent les bases des premières lois sociales françaises. Léo Imbert se veut le porte parole de ce courant méconnu, qui à la suite de Jean-Claude Michea critiquant la gauche dont celui-ci, est issu dans ces origines sociales, incitent les catholiques a véritablement réinvestir la critique du libéralisme. En effet, le catholicisme social a voulu trop soigner les effets catastrophique de paupérisation issue du libéralisme et de surcroit de la mondialisation, sans remonter la cause première de la critique radicale de la modernité et de son régime politique – qui sans « mystique » (selon C.Peguy) – n’a que Foi dans son bras droit armé, le technique.

Pour Léo Imbert,  le renouveau contestataire dans le courant catholique doit s’inspirer de l’influence doctrinale – la doctrine ici n’est pas vue comme une idéologie, elle prends juste en considération les réalités sur la véritable nature de l’homme, or dans la vérité, l’homme est blessé – de ces catholiques sociaux de terrain incarné par Albert de Mun, René de La Tour du Pin et le Bienheureux Frederic Ozanam. De surcroit, ils n’attendent pas l’intervention d’un état paternaliste, pour intervenir, comme ils n’ont pas non plus regardé sans rien faire la misère engendrer par des révoltes sanguinaires, en prenant l’exemple sur les monastères et leur hospitalité de terrain qui au temps des décadences et invasions barbares en Europe au VIIe siècle ont certainement contribué à modifier entièrement le modèle sociale de l’époque. nous fait remarquer Dorothy Day. Finalement, ces penseurs  ont compris que le libéralisme est un fait social total et il qu’il ne s’agit pas d’occulter une problématique en badigeonnant d’eau bénite mais de résoudre un problème, en répondant par un vraie éthos catholique qui dans sa nature pause de juste limites à l’ethos libéral.

La feuille de route du catholicisme sociale se trouve dans l’encyclique Rerum Novarum du pape Leon XIII : « Que les gouvernants fasse usage de l’autorité protectrice des lois et des institutions; que les riches et les maitres se rappellent leurs devoirs; que les ouvriers, dont le sort est en jeu, poursuivent leurs intérêts par des voies légitimes, et puisque la religion seule (…) est capable de détruire le mal dans sa racine, que tous se rappellent que la première condition à réaliser, c’est la restauration des mœurs chrétiennes »[…] « A qui veut régénérer une société quelconque en décadence, on prescrit avec raison de la ramener à ses origines. La perfection de toute société consiste, en effet, à poursuivre et à atteindre la fin en vue de laquelle elle a été fondée ». En France, c’est surement de retrouver une élection particulière avec la Mère de Dieu, « Regnum Gallioe, regnum Mariae » – le royaume de France est royaume de Marie,dit le proverbe, il faut alors comprendre l’alliance tout spéciale qui unit la France et la Vierge Marie.


 

Photo de © Bien Urbain

Les acteurs revendiqués ou juste reconnus, sans étiquettes

Gustave Thibon – Livre: Diagnostics, 1985; À la réédition de livre en 1985, ce philosophe paysan constate que ces pages publiées en février 1940 avant le déchainement de la seconde guerre mondiale n’ont pas vieillis au contraire le diagnostics c’est aggravés en constatant que les moyens ce sont davantage coupés de leur fin et qui sans références au passé, ces progrès se retournent contre leur auteur. Alors le vrai enjeux exigera une révolution spirituelle face à la révolution technique, pour rétablir un ordre éternel, il écrit : – « L’unique problème se pose ainsi : l’homme, investi de pouvoirs démesurés sur la nature et sur lui même, saura-t-il dominer et sélectionner ces moyens en vue de sa fin ou succombera-t-il sous leur puissance désorbitée ? Sera-t-il vainqueur ou la victime de ses conquêtes ? »

Jean Rivière –  Livre: la vie simple, 1969 , l’écrivain paysan qui avait pressenti que de ne plus être au contact de la nature est peut-être un mal qui terrassera l’homme moderne, qui au moment des semis écrit : « soudain l’infime devient infini »;

Dorothy Day (1897-1980) est une figure marquante du catholicisme social américain dont le dossier de béatification est en cours. Elle réclamait en prenant exemple sur les monastères bénédictins du VIIe siècle : – « En ce qui concerne l’accusation de perpétuer l’ordre social, nous considérons les œuvres de miséricordes spirituelles et corporelles et le fait de suivre le Christ comme la meilleure des techniques révolutionnaires et comme un moyen de changer l’ordre social plutôt que de le perpétuer ».

L’engagement social auprès du monde ouvrier de la Bienheureuse Pauline Jaricot, suite aux insurrections des canuts à Lyon, du 31 juillet au 2 août 1830 à Lyon.

Elle partage cette réflexion, après ces événements, vers 1834: « A mesure que l’industrie s’exerce à remplacer les bras de l’homme par des machines, l’ouvrier vertueux qui savait et pouvait faire des économies pour l’avenir ne connaît que la gêne ». Elle poursuit : « Il faut s’attacher à améliorer la condition de la classe ouvrière. Il faut rendre à l’ouvrier sa dignité d’homme, en l’arrachant à l’esclavage d’un travail sans relâche, sa dignité de père en lui faisant retrouver les charmes de la famille, sa dignité de chrétien en lui procurant les espérances de la religion ».

Et bien d’autres, comme Madeleine Delbrel Livre: Nous autres, gens des rues, Paris, 1971; Charlotte Grawitz, Maurice Maignen, Joseph Timon-David, Elie Gounelle et bien d’autres… Dans les modèles politiques à l’instar d’un Saint Louis IX et Hugo Chavez, on peut nommer le grand Gabriel Garcia-Moreno (1821-1875) qui fut président de L’Équateur entre 1821-1875, vous pouvez retrouver sa biographie, sur ce lien .


Pour aller plus loin

Presse :

Appel pour l’abolition de toute reproduction artificielle de l’humain « Contre l’eugénisme et l’anthropocide » par Pièces et main d’œuvre et resistenze al nanomondo

Manifeste des Chimpanzés du futur contre le transhumanisme par les mêmes, Pièces et main d’œuvre :  – «  Et encore, « ceux qui décideront de rester humains et refuseront de s’améliorer auront un sérieux handicap. Ils constitueront une sous-espèce et formeront les chimpanzés du futur. » nous dit un chercheur en cybernétique. Nous sommes les chimpanzés du futur et nous vous appelons à la résistance contre ce néo-nazisme surgi des laboratoires. »

– Films :

  • Blade Runner de Ridley Scott (1982), et le dernier de 2019: 2049. Tiré du livre : Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? de Philip K. Dick.
  • A.I. Intelligence artificielle (Artificial Intelligence: A.I. ou simplement A.I.) de Steven Spielberg en 2001, tiré du livre de Brian Aldiss, Les Supertoys durent tout l’été (Supertoys Last All Summer Long).
  • L’Homme bicentenaire de Chris Columbus en 1999, tiré du livre « The Positronic Man »  d’Isaac Asimov

Lire tous les articles de la série « Retour au réel »


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